Le guide intégral crowdequity
Introduction à crowdequity et ses avantages.
Lisez notre guide intégral du crowdequity, en revanche, ces success stories ne doivent pas nous faire oublier toutes ces startups (il y en a bien d’autres) qui n’ont pas réussi à franchir le mur du son. C’est pourquoi, si vous envisagez d’investir dans une start-up, il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’un investissement avec un risque de perte en capital.
L’association, bien sûr, mais pas que. On s’intéresse aux porteurs de projets : leurs profils, leurs complémentarités, leurs histoires et, bien sûr, leurs compétences pour réussir. Les donateurs potentiels doivent comprendre ce qui fait de vous la bonne personne pour exécuter ce projet.
Apple, Google, Amazon, Facebook, Revolut, Sorare, BlaBlaCar, PayPal, Airbnb… Les exemples de startups devenues des géants mondiaux dans leur domaine d’activité sont nombreux. Ces succès vertigineux expliquent l’engouement des investisseurs pour les startups. Et pour cause, miser sur les startups est une garantie de rendements très conséquents.
Les différents types de crowdequity.
Traditionnellement, le crowdfunding se divise en trois catégories : le don avec ou sans contrepartie, le prêt ou crowdlending et la prise de participation ou crowdequity. Le crowdfunding s’est développé exponentiellement ces dernières années et a vocation à devenir un vecteur majeur du financement dans les années à venir. Le Gouvernement français a souhaité créer un régime dérogatoire pour encourager le développement de cette pratique. L’ordonnance du 30 mai 2014 (l’«Ordonnance») relative au financement participatif et son décret d’application en date du 16 septembre 2014 (le «Décret») posent les premières pierres du cadre réglementaire du crowfunding en France.
Dans ce portefeuille on a des petites entreprises (relativement parlant, petite à l’échelle monde c’est quand même grand), des grandes, des obligations (entreprises et états), de l’immobilier et des métaux précieux, le tout en international (ne vous limitez pas juste au micro truc qu’est le CAC40, la bourse, le gros de ce qui bouge c’est aux États-unis).
Les thématiques des projets sont très variées. On retrouve ainsi des projets humanitaires, du social, de l’environnement, cultuel, sur l’entrepreneuriat, mais aussi l’innovation ou la technologie (application mobile, service, produits). D’autres concernent la transition énergétique, ou encore la culture (musique, spectacle vivant, jeux vidéo.) mais aussi l’immobilier ou l’investissement matériel. Les thèmes et les sujets ne manquent pas.
Comment lancer une campagne crowdequity réussie.
Le contributeur d’une campagne de crowdequity endosse le rôle d’investisseur dans l’entreprise qui réalise la campagne. Le crowdequity regroupe trois types de pratiques : l’acquisition d’obligations rémunérée sous la forme d’intérêts, la prise de capitaux rémunérée avec les dividendes ou la plus-value lors de la session et les royalties où le contributeur sera rémunéré un pourcentage du chiffre d’affaires.
Êtes-vous en capacité de bien communiquer ?Une campagne de crowdfunding nécessite une vraie capacité à bien communiquer sur son projet, à capter l’attention et à convaincre les éventuels « investisseurs ». Donc ne sous estimez pas ce volet relatif à la communication.
Une des clés de réussite d’une campagne de financement participatif ? S’adresser aux bonnes personnes au bon moment. On divise généralement ses cercles de connaissances en 3 : les proches, les amis d’amis et le grand public (touché via les médias, de la pub sur les réseaux sociaux, le bouche à oreille…). Vous vous adresserez à eux différemment et surtout, à différents temps de la campagne. Pour cela, rien de tel qu’un bon vieux tableau Excel : nom, prénom, adresse e-mail, numéro de téléphone, compte Facebook… Ce tableau doit être prêt avant le lancement de la campagne pour que vous puissiez communiquer dès les premiers jours.
Meilleures pratiques pour commercialiser votre campagne crowdequity.
Vous pouvez ainsi travailler votre notoriété et convaincre progressivement de l’efficacité et la pertinence de votre action. Ces cibles seront plus sensibles lorsque vous ferez un appel aux dons car elles seront déjà convaincues du bien fondé de votre association. Une démarche de collecte se pense donc en amont avec l’utilisation du numérique et du papier car ils sont complémentaire, pensez-y lors de votre réflexion stratégique.
Le principe sous-jacent à cette méthode est simple : cela motive les gens à faire de la publicité pour le projet et à en parler dans leur entourage. Selon le site Kickstarter.com, cela marche. En effet, les projets qui parviennent à atteindre 20% de leur objectif de financement durant la période de financement, finiront par atteindre l’entièreté de leur objectif de financement à la fin de cette période dans 81% des cas.
Appliqué de façon appropriée, le crowdsourcing permet de réduire la durée de développement d’un produit et d’en faciliter l’acceptation par les clients, ce qui finalement crée de la valeur pour l’entreprise. Le principe du crowdfunding existe déjà depuis très longtemps. Un des exemples les plus connus est celui de la Statue de la Liberté à New York.
Considérations juridiques lors du lancement d’une campagne de crowdequity.
Cependant, il existe quelques conditions à respecter pour réaliser des campagnes de Crowdequity. Tout d’abord, seules les statuts juridiques SAS (Société en Action Simplifiée) ou SA (Société anonyme) sont éligibles à ce type de financement via une plateforme dédiée.
Le décret du 16 septembre 2014 parachève le dispositif français du crowdfunding en entérinant les solutions de l’Ordonnance du 30 mai 2014. Ladite ordonnance consacre enfin un cadre juridique délimité à l’activité des plateformes de crowdfunding en taillant sur mesure un statut de Conseil en investissements participatifs. Ce statut vient se juxtaposer à côté du statut de prestataire de services d’investissement.
Né depuis peu, le crowdfunding ne dispose pas encore d’un encadrement législatif propre. Face à ce « vide juridique », il faut se référer aux règles applicables en matière d’échanges monétaires et d’engagements. Ce mode de participation financière se situe hors des systèmes bancaires classiques : l’internaute décide, en fonction de ses désirs, d’apporter son soutien en (co)finançant un porteur et son projet.
Histoires de réussite de Crowdequity et leçons apprises.
En revanche, ces success-stories ne doivent pas faire oublier toutes ces start-up (bien plus nombreuses) qui ont échoué à franchir le mur du son. C’est pourquoi, si vous envisagez d’investir sur une start-up, vous ne devez pas oublier qu’il s’agit d’un investissement à risque de perte en capital.
L’association certes, mais pas uniquement. Ce sont les porteurs du projet qui vont intéresser : leurs profils, leurs complémentarités, leurs histoires et bien sur leurs compétences pour réussir. Le donateur potentiel doit comprendre ce qui fait de vous le bon acteur pour mener à bien ce projet.
Apple, Google, Amazon, Facebook, Revolut, Sorare, BlaBlaCar, PayPal, Airbnb… Les exemples sont nombreux de start-up devenues des géants mondiaux dans leur secteur d’activité. Ces réussites fulgurantes expliquent l’engouement des investisseurs à l’égard des start-up. Et pour cause, miser sur une start-up est la garantie de gains très importants si celle-ci réussit.